À la fin de 2000, le guitariste Aaron Fink et le bassiste Mark James
Klepaski prennent une décision étonnante et quittent le groupe
alternatif metal Lifer qui dispose pourtant d’un contrat avec
l’étiquette majeure Universal en plus de gagner en popularité. Fink et
Klepaski quittent afin de s’unir au chanteur Ben Burnley et au batteur
Jeremy Hummel pour fonder Breaking Benjamin. Il appert que le duo
possède une grande confiance dans les talents d’auteur et compositeur
de Burnley. C’est donc à la fin de 2000 que Breaking Benjamin voit
officiellement le jour. Les quatre membres sont originaires de
Wilkes-Barre, en Pennsylvanie où Fink et Burnley fréquentent la même
école secondaire. À ses débuts, Breaking Benjamin verse dans le rock
sympathique aux ondes radio avec des accents plus lourds. Le groupe
puise ses influences chez Pearl Jam, Bush, Stone Temple
Pilots, The Smashing Pumpkins et Nirvana. En 2001, un DJ
d’une station locale remarque le groupe lors d’un concert et décide de
commencer à faire tourner la pièce « Polyamorous » en plus de
financer l’enregistrement d’un EP éponyme qui paraît en 2001 pour
s’écouler à plus de 2000 exemplaires dans la seule région de
Wilkes-Barre. C’est tout ce qu’il faut pour convaincre l’étiquette
Hollywood Records d’offrir un contrat à la formation qui amorce
l’enregistrement d’un premier effort, « Saturate », qui
paraît en août 2002. Se préparant à composer un second effort, le
groupe a la chance de collaborer avec une grande idole, Billy Corgan,
ancien leader des Smashing Pumpkins. La collaboration fonctionne
admirablement bien et les résultats se retrouvent sur le nouvel album
« We Are Not Alone » qui paraît en 2004. source: www.musiqueplus.com